Le divorce peut être une procédure de longue haleine. Avec le recours à une procédure de divorce à l’amiable, les choses peuvent aller plus vite et les frais afférents à ce type de divorce sont moindres par rapport au divorce judiciaire. Avant d’enclencher la procédure de divorce, il est important de prendre un certain nombre de précautions.
Les formalités administratives
Il sera question ici d’aborder un certain nombre de recommandations concernant les préalables à la procédure de rupture à l’amiable, suivez ces conseils pour bien divorcer. Il est avant tout nécessaire de procéder à certaines procédures administratives.
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Commencez par rassembler les pièces nécessaires au divorce. Il s’agit notamment des extraits des actes de naissance des époux ainsi que l’acte de mariage. Ces pièces doivent dater de moins de trois mois. Il faut aussi joindre les actes de naissance des enfants mineurs, une copie du livret de famille et toutes les pièces certifiant les revenus et les charges des époux.
Les démarches à faire par rapport à la liquidation du patrimoine commun
Prenez rendez-vous avec votre conseiller bancaire. Pensez à clôturer le compte-joint et à annuler les éventuelles procurations que chaque conjoint détient sur le compte de l’autre. Résiliez les crédits des cartes de crédits, effectuez le partage des sommes présentes sur les comptes bancaires.
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Il faudra ensuite penser à dresser un inventaire du patrimoine commun acquis au cours du mariage. Si les deux époux détiennent un bien immobilier, il faut qu’ils prennent rendez-vous avec un notaire pour vider la question. Au cas où ils décideraient de vendre le bien, il est préférable que la vente intervienne avant le divorce afin d’éviter de supporter des frais supplémentaires.
Bien choisir l’avocat
Il faut d’abord que les époux sachent s’ils décident de prendre un avocat commun ou deux avocats distincts. Le choix d’un avocat unique est possible mais il pose des problèmes pratiques dans la mesure où il ne pourra pas prendre le parti de défendre un conjoint contre un autre. Il est plus simple de prendre un avocat commun quand les époux n’ont pas de patrimoine en commun et qu’ils n’ont pas non plus d’enfants.
Pour bien choisir votre avocat, fiez-vous au bouche-à-oreille. Si vous connaissez des personnes qui ont divorcé, demandez-leur qu’ils vous transmettent les coordonnées de leurs avocats. Renseignez-vous sur le montant des frais d’honoraires.